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Et la malo dans tout ça ?
Alors que les dernières fermentations malolactiques se terminent, le temps est venu de faire un 1er point d’étape sur leur déroulement en zone méditerranéenne et rhodanienne.
Les conditions climatiques capricieuses et des températures fluctuantes ont eu pour conséquence des départs spontanés en malo plus difficiles que lors du précédent millésime.
En revanche en cave expérimentale, les vins ensemencés en bactéries Elios® suivis chaque année, issus de parcelles de l’observatoire du millésime ICV connaissent des durées de malo quasi constantes par rapport à 2014.
Le choix de la co-inoc
Sur ce millésime, de nombreuses caves ont décidé de co-inoculer en bactéries sélectionnées Elios®, dès le lendemain du levurage, ou d’ensemencer sans attendre, dès les fins de fermentations alcooliques.
Objectifs : limiter au maximum et rapidement toute pression microbienne pour ensuite obtenir des vins stables et rapidement présentables.
Le test FML pour les malo toujours pas démarrées
Pour les quelques cuves qui « résistent » et ne voient pas encore leur malo s’enclencher spontanément : pensez au test FML !
Issu de 4 années de recherche par l’équipe R&D du Groupe ICV, ce test rapide permet, pour tout type de vin, de prédire sa facilité à réaliser la fermentation malolactique (FML) ensemencée avec une bactérie de la gamme Elios®.
Le résultat est disponible dans un délai de 2 à 6 jours. Son interprétation est simple : malo facile (durée malo < 20 jours), moyennement facile (durée totale malo comprise entre 21 et 40 jours, ou difficile (durée totale FML > 40 jours)
Les résultats de ce test vous permettront d’ajuster, avec votre œnologue-consultant, une stratégie pertinente vis-à-vis de la gestion de la fermentation malolactique, afin de pouvoir envisager sereinement l’élevage et la commercialisation de vos vins.
